Grand soleil au début, pas de vent.
Rapidement, le fameux brouillard hispano-portugais nous tombe dessus.
On a 50 m de visibilité et pas de radar.
On fait ce qu'on peut avec nos deux paires d'yeux et notre AIS (sachant que la plupart des pêcheurs espagnols n'ont pas d'AIS ou ne l'allument pas...)
Bref, on ne fait pas les malins!
Ça finit par se dégager, on reprend confiance et on embouque le chenal ''paso del Carreiro'' avec des cailloux partout.
Arrivée à 14h30, nous mouillons devant la plage de Coroso à Ribeira, après une nav' entièrement au moteur.
Là on est bien.
Damned, une vedette des douanes nous tourne autour! |
...il est vrai qu'on doit faire un peu manouche, aussi... |
Le lendemain matin, on repart en direction des iles Ciès.
Le souci c'est que pour mouiller sur ces iles, il faut à la fois un permis de navigation dans les eaux du parc maritime, que nous avons et une autorisation de mouillage que nous n'avons pas.
J'ai demandé trop tard, c'était complet, c'est de ma faute, je m'en bats la coulpe.
On passe donc assez près de l'ile de Faro, juste pour voir là où nous n'avons pas le droit de nous arrêter...
Ensuite on rentre dans la ria de Vigo pour mouiller à ''Ensenada de Barra'', une superbe plage du côté nord de la ria.
Finalement, on s'est dit que c'était sûrement aussi beau que les iles Ciès et en plus pour ne rien gâcher il y a des culs nus partout!
Damned, des culs nuls nous tournent autour! |
Hey du bateau jaune!
RépondreSupprimerJe viens de lire vos posts depuis le Gascogne. Très drôles, j'ai notamment beaucoup aimé la photo-recherche des clés de voiture de Miguel! Ça a pas l'air si mal jusqu'à présent ! De mon côté je ne regrette pas le Kyrgyzstan à vélo, c'est pas la mer mais des montagnes et des lacs grandioses! Je vous souhaite très bon vent pour la suite! Bises, Lara