Il est temps de donner des nouvelles pour contenter nos très nombreux lecteurs: on arrive a plus de 30 visites par jour, c'est vertigineux!
Voici donc la suite de notre voyage:
On quitte le mouillage de Peniche le 1er septembre dès le lever du jour.
Il faut gagner Cascais qui sera notre dernière escale au Portugal.
Un vent de nord 18-22 nds est prévu pour cette navigation de 50 milles.
Quatre autres bateaux partent exactement au même moment que nous et vont dans la même direction:
- Guardian Spirit, un gros Moody 45 anglais
- Heart of Gold, un Allures 45.9 américain
- Pegasus, le catamaran de Cédric et Anne-Sophie
- Aya, un Sun Odyssey de 45 pieds environ, pavillon russe.
Évidemment, chacun se surveille et on se tire un peu la bourre.
Eh bien qui c'est qui gagne?
C'est le petit Pikou Panez qui arrive au mouillage une heure avant le second!
On se souviendra (surtout Bleuenn en fait), du gros thermique qu'on s'est pris au niveau de Guincho: un bon 30 nœuds avec des gros surfs pas contrôlés...
J'aurais dû le savoir, j'y ai fait de la planche à Guincho...
Bref, nous voici au mouillage dans la baie de Cascais, le Saint Tropez portugais parait-il.
Le mouillage de Cascais. Nous on est tout au fond. |
D'après le panneau, l'endroit est dangereux... |
Une petite plage de Cascais à deux pas du bateau |
Les deux jours suivant nous prenons le train pour aller visiter Lisbonne, à 40 minutes de là.
Le troisième jour, on se met à la très chic marina pour pouvoir débarquer plus facilement Agnès et Bleuenn qui ont un avion le lendemain.
Le Taje, le pont et le Jésus (celui qu'on a pas vu à Nazaré) |
Les toits de Lisbonne et le pont du 25 avril |
La tour de Belem |
Je me retrouve seul jeudi et obtiens un avis météo favorable de mon routeur pour un départ vendredi midi vers Porto Santo.
Il y a 475 milles à parcourir sur l'orthodromie, sans doute 500 milles en vrai.
Ça me fera arriver lundi soir, au plus tôt...
Vers l'infini et au delà!
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